publié le 15 novembre 2021
par asaba
Le mercredi 17 novembre, Louis-Jean Cormier sera de passage à Sudbury pour présenter ses 3e et 4e albums solos, Quand la nuit tombe et Le ciel au plancher. Le spectacle sera présenté au Caruso Club (385 rue Haig).
Tu connais la musique de Louis-Jean Cormier?
Non? Bienvenue dans l’univers touchant et sensible de ce grand artiste.
Oui? Qu’est-ce que tu attends pour pogner tes billets?
Le spectacle qui sera offert la semaine prochaine est riche en textures sonores, en ambiances visuelles et en thèmes dans l’air du temps.
Question de vous mettre l’eau à la bouche, on vous a déniché des petites pépites qui sauront vous immerger dans l’univers de Louis-Jean Cormier.
Lève la main si tu étais là! Il était venu présenter son album Le treizième étage. Le spectacle était épuré et en format « unplugged » et réunissait Louis-Jean Cormier à la guitare et Adèle aux harmonies et aux percussions.
Avertissement : le show risque de vous émouvoir. L’album Quand la nuit tombe a été lancé alors que le monde entrait en confinement, et seulement deux mois après la mort de son père. On sent toutefois valser la douleur du deuil dans la magnifique chanson Croire en rien.
J’ai pu le goût de croire en rien
Et je te demande pardon
Tu m’as donné ton nom
Et le don de faire du bien
J’ai pu le goût de croire en rien
Et je te demande pardon
Je resterai ton garçon
Du début à la fin
Après avoir voyagé pendant deux ans, Louis-Jean Cormier a envie de se renouveler musicalement. Dans son 3e album, il s’inspire alors du hip hop et de l’électro, comme on l’entend dans la chanson 100 mètres haies. Louis-Jean Cormier renoue aussi avec le piano, son premier instrument. Il avait priorisé la guitare sur ses deux premiers albums.
« Quand la nuit tombe
Deux ans de repos
Deux ans de voyages
Deux ans pour m’inspirer
Deux ans pour écrire
Deux ans qu’on ne s’est pas vu
Deux heures pour se revoir
Deux heures pour te chanter du nouveau
Deux heures pour revisiter le passé
Deux heures pour reprendre où l’on s’était laissé
J’ai vraiment hâte de te retrouver » – Louis-Jean Cormier